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L’homme qui rit

Un roman philosophique et dramatique publié en 1869 se passent en Angleterre entre le 17ème et 18ème siècle.



Au début du XVIIIe siècle, sur les côtes anglaises, un enfant au visage monstrueux est abandonné, dans des conditions effroyables. Après maintes péripéties, il trouve refuge chez un saltimbanque qui l'élèvera. C'est l'histoire d'un enfant, Gwynplaine, marqué par une cicatrice qui lui donne en permanence un rire affreux, recueilli avec Dea, jeune fille aveugle, par Ursus, curieux vagabond, philosophe misanthrope, trimbalant avec lui un loup à la discrétion d'un caniche. Ensemble, ils vont constituer une compagnie de mimes…

 

L’auteur dresse un portrait de l’aristocratie anglaise dans les 1700, ils abordent plusieurs sujets comme la politique, l’injustice, les classes sociales, l’aristocratie, d’amour, l'aveuglement des élites, leur bonheur indécent qui souvent n'existe qu’au détriment des gens qui souffrent.

 

Gros coup de cœur pour le personnage de Gwynplaine, on aurait pu penser qu’il va être un homme mauvais après ce qu’il lui est arrivé et bien au contraire, c’est un personnage courageux qui a l’âge de 10 ans a sauver un nourrisson. C’est un homme honnête avec un grand cœur et a un sens de la justice honorable, il défend les plus faibles mais il est quelque peu naïf car en pensent qu’avec sa véritable identité il va pouvoir convaincre et faire changer les choses en rallient les lords à sa cause, malheureusement c’est tout le contraire. Il y a aussi le personnage attachant d’Ursus, un homme libre qui sous ses airs d’homme bougon, se cache un homme d’une grande tendresse envers ses enfants qu’il a recueilli.

 

Il y a deux personnages féminins autour de Gwnynplaine, Déa représente la bonté, gentillesse c’est un ange, elle possède une grande tendresse envers le jeune homme. Ensuite il y a Josiane, elle est l’opposé de Déa, elle tout aussi belle que Déa mais elle est une diablesse, c’est une femme mauvaise qui s’intéresse a Gwnyplaine pour son physique disgracieux. Ses deux femmes pour notre personnage principal l’une est inaccessible et l’autre il est attiré par elle, une tentatrice vers le mal…

 

J’ai été emporter par le récit, la plume de l’auteur nous entraine dans l’Angleterre du 17ème/18ème siècle, j’ai dévoré ce chef-d’œuvre sublime. Des passages touchants, j’ai souligné les passages qui m’ont plus.


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